Métal d’apport TIG inox D1.6mm 316L 1000mm 5kg

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A propos de : Métal d’apport TIG inox D1.6mm 316L 1000mm 5kg

Métal d’apport TIG inox D1.6mm 316L 1000mm 5kg

FILS POUR SOUDAGE TIG

Métal TIG inox D1.6mm : Le soudage TIG est un procédé de soudage où un arc électrique est produit entre une électrode tungstène réfractaire et la pièce à souder. C’est pourquoi, le bain de fusion est protégé au sein d’une atmosphère inerte (généralement de l’argon). Ainsi la soudure peut être effectuée par fusion du métal de base. Ou bien par adjonction de métal d’apport de même nature que la pièce à souder. La baguette de métal d’apport est fondue par l’arc électrique qui est obtenu suite à un amorçage au « touché  » ou en utilisant la  » haute fréquence « .

TIG est un acronyme de Tungsten Inert Gas. Où le Tungsten (Tungstène) désigne l’électrode et Inert Gas (Gaz inerte) le type de gaz plasmagène utilisé.

Pour le soudage TIG les électrodes employées sont majoritairement constituées de tungstène (W) à plus de 99 % en masse. Auquel on ajoute des oxydes métalliques pour augmenter l’émissivité électronique de l’électrode. Et ainsi augmenter le rendement.  Ces oxydes sont ceux du thorium (ThO2), du cérium (CeO2), du lanthane (La2O3), du zirconium (ZrO2) ou d’yttrium (Y2O3) finement dispersés dans la phase W. Pour le soudage de l’aluminium, on trouve également des électrodes en tungstène pur.

L’arc électrique permet d’élever la température autour de 3 600 °C.  C’est pourquoi la température de fusion du métal à souder se situe à une valeur nettement inférieure (vers 1 740 °C pour l’acier).

Les générateurs utilisés sont des générateurs dont la courbe tension-intensité est de type plongeante. C’est-à-dire que pour une variation de tension dans une plage donnée, l’intensité va peu varier. Ces générateurs peuvent également s’employer pour le soudage à l’électrode enrobée.

Le gaz de soudage

Dans la majorité des cas le gaz employé est de l’argon (utilisé en UE). Ce gaz neutre permet d’éviter l’oxydation instantanée lors de la fusion du métal soudé. Il est aussi influent sur la création de l’arc à l’amorçage (plus facile sous argon car sa tension d’ionisation est plus faible que celle de l’hélium). Ainsi que sur la forme du cordon, la vitesse de soudage (les vitesses élevées sont plutôt réservées aux mélanges majoritaires en hélium). Cependant, aux États-Unis les gisements d’hélium étant plus abondant ce gaz est donc plus utilisé. Bien qu’il rende l’amorçage plus difficile l’hélium élève la tension d’arc. C’est pourquoi il permet une pénétration et une vitesse de soudage plus importante.

Pour les aciers inoxydables austénitiques, l’utilisation de mélanges binaires argon + hydrogène améliore la productivité en augmentant la pénétration et les vitesses de soudage.

 

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